- Dénominations
- Gonadotrophine chorionique
- Gonadotrophine chorionique humaine
- HCG ; hCG
- Human chorionic gonadotrophin
- Choriogonadotrphine humaine
- Pregnancy urine hormone (dans les préparations
pharmaceutiques)
- Structure
de l'hCG :
- C'est une hormone glycoprotéine
de 37,9 kDa ; le molécule entier de hCG (appelé
aussi Holo hCG) est composé de 237 acides aminés
et comporte deux sous unités associées par une liaison
non cavalante :
- Sous
unité alpha α-hCG :
- elle est composée de 92
acides animés ;
- la séquence en acides
aminés de cette sous unité α-hCG, à
l'exception de quelques différences, est très
proche de la séquence en acides aminés des
sous unités α des autres gonadotrophines (α-LH
de 89 acides aminés, α-FSH de 92 acides aminés
et TSH) ;
- elle est codée par un
seul gène situé sur le chromosome 6.
- Sous unité
bêta β-hCG :
- elle est composée de 145
acides animés (112 à 115 pour la sous unité
β-LH);
- la séquence en acides
aminés de cette sous unité β-hCG n'est
pas identique à celle de β-FSH, β-LH
et β-TSH bien que toutes ces sous unité β
soient similaires en plusieurs points ;
- c'est elle qui confère
à l'hCG sa spécificité et elle est
considérée comme marqueur de l'activité
trophoblastique ;
- elle est codée par sept
séquences génomiques homologues (gènes
et pseudogènes) situées sur le chromosome
19.
- Les sous unités α et
β séparées ne sont pas actives car, la
combinaison de ces deux sous unités est nécessaire
pour que le hCG (comme toutes les autres gonadotrophines :
FSH, LH et TSH) soit active
du point du vue hormonal.
- La sous unité α de n'importe
quelle gonadotrophine (hCG, FSH, LH et TSH) peut se combiner
avec n'importe quelle sous unité β spécifique
(β-hCG, β-FSH, β-LH et β-TSH) pour engendrer
la gonadotrophine active de cette sous unité β
; comme par exemple, la combinaison de la sous unité
α-FSH avec la sous unité β-hCG engendrera
l'activité de l'hCG.
- Demi-vie :
- L'hCG possède presque les
mêmes propriétés biologiques et immunologique
de LH mais elle différent par leurs demi-vies :
- deux jours environ pour l'hCG
pour une demi ne dépassant une heure pour la LH
;
- Pour les dosages plasmatiques
- si on utilise des anticorps monoclonaux
anti-β et anti-α, seul l'Holo hCG sera dosé
- si on utilise deux anticorps monoclonaux
anti-β le réactif dosera l'Holo hCG et les sous
unités β libres présentes dans le sérum.
- Il existe des réactifs qui
permet faire des dosages spécifiques de la sous unité
β libre de l'H.C.G dans le sérum.
- Sécrétion
de l'hCG :
- La gonadotrophine chorionique humaine
est sécrétée par le
placenta dès sa formation ; car en effet, ce sont les
cellules syncytiotrophoblastes et les cytotrophoblastes villositaires
placentaire qui sécrètent cette hormone (,
)
- Les deux sous unité β-hCG
et α-hCG sont présentent dans les cellules syncytiotrophoblastes
et les cytotrophoblastes villositaires.
- En début de grossesse c'est,
le taux de la sous unité β-hCG est prédominant
alors qu'en fin de grossesse c'est la sous unité α-hCG
qui prédomine
- L'hCG est détectable dans le sang
maternel périphérique dès le 9e
jour qui suit l'ovulation si l'uf fécondé
s'implante au cours de ce cycle (ou 48 heures après l'implantation
de la grossesse dans l'endomètre)
et ensuite, elle reste dosable dans le sang maternel pendant toute
la durée de la grossesse.
- Le
taux de sécrétion de hCG augmente rapidement
entre la 4e et 8e semaine
d'aménorrhée et son taux plasmatique double
tous les 2 à 3 jours
- Il atteint son maximum à la 8e
semaines d'aménorrhée ; puis il chute rapidement
entre la 14e et 18e semaine d'aménorrhée et se maintient,
à une valeur basse et relativement constant, autour 5000
UI/L, jusqu'à la fin de la grossesse.
- L' hCG disparaît
totalement de l'organisme de la femme dans les 5 jours qui suivent
l'accouchement.
- L'hCG traverse le placenta,
pour cette raison on peut remarquer la même évolution
des taux de hCG
- dans le sang ftal (1 - 3 %
des taux maternels) ;
- dans le liquide amniotique (20 -
25 % des taux maternels).
- Les taux de hCG sont deux fois plus élevés
lors de grossesses gémellaires
- Les taux sont anormalement abaissés
lors de l'avortement
et les grossesse extra-utérines
- La positivité du hCG plasmatique
ne témoigne pas de la vitalité de
l'embryon et le ftus;
elle témoigne seulement de la présence de cellules
trophoblastiques actives ; pour cette raison on peut trouver des
taux de hCG plasmatiques significativement élevés
:
- sur une grossesse qui vient de cesser
d'évoluer (mort de l'embryon ou du ftus)
- sur une grossesse de type uf
clair (sac gestationnel sans embryon)
- dans les grossesses
môlaires : absence d'embryon ; absence de placenta
avec dégénérescence vésiculaire
des villosités trophoblastique et une hyperplasie cellulaire
trophoblastique
- Dans les maladies trophoblastiques on
constate une élévation rapide et importante des
taux de hCG
- la valeur du rapport β-hCG
libre/hCG oriente vers l'origine de la sécrétion
hormonale :
- au cours de la grossesse normale
ce rapport est compris entre 0,05 et 1 % ;
- dans la grossesse môlaire
ce rapport est de 1 et 5 % ;
- en cas de choriocarcinome le
rapport est supérieur à 5 % .
- Les tumeurs de types dysembryomes immatures
malins développés à partir des gonades et
contenant du tissu trophoblastique (comme le choriocarcinome de
l'ovaire et du testicule) sécrètent de l'hCG (Holo
hCG et de la sous unité β libre.)
- Les
rôles physiologiques de la hCG
- Le rôle de l'hCG est de maintenir
l'activité du corps jaune dès le 10e jour de grossesse
en reliant la LH hypophysaire (qui maintient cette activité
pendant les 9 premiers jours après la fécondation).
- Une fois que le corps jaune cyclique
est transformé en corps jaune gravidique sous l'effet de
l'hCG, ce corps jaune va assurer, grâce à la fonction
lutéotrophique (LH) de sa sous unité bêta-hCG,
la sécrétion des strogènes et de la
progestérone nécessaires à l'évolution
de la grossesse jusqu'à la 7e semaine d'aménorrhée
; ensuite c'est le placenta qui va assurer cette activité
hormonale sécrétoire jusqu'à la fin de la
grossesse encore sous l'influence de la stimulation par hCG, qui
permet de produire des strogènes et la progestérone
à partir de précurseurs androgéniques.
- Enfin, l' hCG, en traversant le placenta,
joue un rôle capitale dans la différenciation sexuelle
de l'embryon car la gonadotrophine hCG module la production des
hormones stéroïdes par le testicule ftal.
- L'hCG pourrait avoir une action relaxant
au niveau du myomètre et des vaisseaux utérins et
contribue au maintien de la grossesse.
- L'hCG joue un rôle important dans
la maturation folliculaire et le déclenchement de l'ovulation
puis la formation du corps jaune ; pour ces effets elle est utilisée
chez la femme en thérapie dans
le traitement de l'anovulation, dysovulation et dans les protocoles
de la procréation médicalement assisté.
- L'hCG utilisée chez
l'homme aussi car elle possède quelques effets thérapeutiques.
- Intérêts
cliniques de l'hCG :
- Dans
le diagnostic et la surveillance de l'évolutivité
précoce de la grossesse intra-utérine :
- Sa positivité plasmatique est
le premier signe de la grossesse : Le hCG est dépistable
dans le sang maternel périphérique dès
le 9e jour après la fécondation de
uf ou 2 jours après l'implantation de la grossesse
dans l'endomètre ; donc son dosage dans le sang maternel
permet de faire le diagnostic de la grossesse même avant
le retard de règles et avant l’apparition des signes
échographiques de la gestation.
- En combinant
l'échographie aux dosages de hCG plasmatique, il est
admis qu'une grossesse évolutive intra-utérine
est visible :
- par l'échographie par voie
abdominale à partir d'un taux plasmatique de hCG
égale ou supérieur à 2500 mUI/ml ;
- par l'échographie par voie
endovaginale à partir d'un taux plasmatique de hCG
égale ou supérieur à 1500 mUI/ml.
- Dans le domaine du diagnostic de la
grossesse il est possible de se référer à
ces deux documents qui montrent :
- Dans
le diagnostic et la prise en charge de la grossesse extra-utérine
:
- Le dosage plasmatique de hCG couplé
à l'exploration échographique pelvienne ont participé
à réduire la mortalité et morbidité
dues à la grossesse
extra-utérine, car ces deux moyens diagnostiques
sont à l'origine d'une révolution dans la mise
en évidence et la prise en charge de cette pathologie.
- Actuellement, concernant la grossesse
ectopique extra-utérine, les taux de hCG jouent une rôle
important dans :
- le diagnostic
- la décision thérapeutique
;
- la suivie thérapeutique
de la grossesse extra-utérine :
- Dans
les maladies trophoblastiques :
- le dosage de l'hCG plasmatique, tout
au long de la maladie, il est considéré comme
le marqueur essentiel pour le diagnostic, le pronostic, le choix
thérapeutique et la suivie du traitement ; pour cette
raison les contrôles des taux de hCG est hebdomadaire
pendant le traitement et un mois après normalisation,
puis mensuelle pendant 6 mois ; une anomalie de la courbe d'évolution
de l'hCG lors de la surveillance d'une môle hydatiforme peut
être l'occasion de la découverte du choriocarcinome.
- Dans
le dépistage de la trisomie 21 au cours de la grossesse
- Les dosages de β hCG libre sont utilisés,
pendant la grossesse pour le dépistage de la trisomie 21, car en 1987, Bogaret et coll ont montré que l'hCG est plus
élevée que la normale lors des grossesses affectées
par la trisomie 21. Les études ultérieures faites
par Marcri et coll (1990) puis Spencer et coll (1991) ont montré
que le dosage de la sous unité β libre de hCG améliore
le taux de dépistage de la trisomie 21 car il permet, dosé
seul, de dépister (45 %) des cas de trisomie 21 contre
(38 %) des cas si on utilise le dosage seul de hCG totale
(Holo hCG).
- Actuellement, les dépistages de
la trisomie 21 sont basés sur la combinaison de la mesure
de deux ou trois marqueurs :
- Entre
14 et 17 SA et 6 jours:
- le dosage de la sous unité
β hCG plasmatique libre
- Alpha ftoprotéine
plasmatique : en 1984,
Merkatz et coll, démontrent que le taux plasmatique
maternel de ce marqueur est plus bas chez les femmes
porteuses d'enfants trisomiques par rapport aux autres
femmes, de même terme.
- Estriol libre (uE3) : En
1988, Canick et coll, ont démontré, statistiquement,
que le taux plasmatique maternel de cette hormone est
plus bas en cas de trisomie 21 que dans la population
témoin.
- Les dosages de ces trois marqueurs, réalisés entre 14 SA et 17 SA et 6 jours,
permet de détecter
environ 77 % des cas de trisomie 21 avec un taux de faux positif
de l'ordre de 5 %.
- Le calcul du risque intégré de la trisomie 21 consiste à intégrer :
- l'épaisseur de la clarté nucale fœtale mesurée par un échographiste accrédité, entre 11 SA et 13 SA et 6 jours (soit chez les fœtus dont la longueur crânio-caudale " LCC " est située entre 45 et 84 mm) ;
- au taux du risque sérologique (au deuxième trimestre de la grossesse) de la trisomie 21 et qui doit être évalué lorsque l'âge de la grossesse est situé entre 14 SA et 17 SA + 6 jours. Ce taux de risque est calculé en prenant compte de l'âge maternel et l'âge de la grossesse au moment de la réalisation des prélèvements sanguins chez la mère et enfin les taux sériques maternels de trois marqueurs précédents dosés chez la mère sur ces mêmes prélèvements sanguins.
- L'intégration de l'épaisseur de la clarté nucale (mesurée au 1e trimestre) au risque sérologique de la trisomie 21 (évalué au 2e trimestre), permet de dépister environ 80 % des cas de trisomie 21 fœtale, tout en diminuant le taux des cas de faux positif que l'on obtient avec le calcul seul du risque sérologique du 2e trimestre ; donc le calcul du risque intégré de la trisomie 21 fœtale permet de baisser le taux d'amniocentèses inutiles réalisées dans le cadre du diagnostic prénatal de la trisomie 21.
- Entre
8 et 14 SA :
- Les dosages associant ces deux marqueurs
chez les femmes enceintes (entre 8 et 14 SA) permet de détecter
62 % des ftus trisomiques pour un taux de faux-positifs
de 5 %
- Depuis l’arrêté du 23 juin 2009, il a été généralisé en France, le dépistage au premier trimestre de la grossesse de la trisomie 21 fœtale ; ce dépistage consiste à évaluer le taux du risque de trisomie 21 chez le fœtus en combinant :
- la valeur de l'épaisseur de la clarté nucale " CN " mesurée par un échographiste accrédité (inscrit à un réseau de périnatalité avec numéro d'identifiant CPDPN), entre 11 SA et 13 SA et 6 jours (soit chez les foetus dont la longueur crânio-caudale " LCC " est située entre 45 et 84 mm) ;
- les dosages, au premier trimestre (entre 11 SA et 13 SA et 6 jours) des marqueurs sériques maternels (MSM), à savoir, la sous unité
β libre de hCG et la PAPP-A
- Ils sont pris en compte aussi pour calculer ce risque de la trisomie 21 fœtale au premier trimestre de la grossesse :
- Le calcul du risque combiné de la trisomie 21 fœtale au premier trimestre de la grossesse permet un diagnostic précoce de la trisomie 21 fœtale tout en diminuant considérablement le taux des cas faux positifs (il faux réaliser environ 10 amniocentèses pour dépister un cas de trisomie 21 fœtale contre environ 112 amniocentèses quand ce dépistage est réalisé au cours du deuxième trimestre de la grossesse par le simple dosage des marqueurs sériques maternels).
Les trois possibilités de dépistage de la trisomie 21 fœtale |
|
Dépistage du premier trimestre
(calcul du risque combiné) |
Dépistage du deuxième trimestre
(calcul du risque intégré) |
Dépistage du deuxième trimestre
(calcul simple du risque sérique
par dosage des MSM) |
|
11 à 13 SA et 6 jours |
14 à 17 SA et 6 jours |
14 à 17 SA et 6 jours |
- Dosages des marqueurs
sériques maternels
(MSM)
|
- PAPP-A (protéine plasmatique placentaire A)
- Sous unité β libre de hCG
|
- Sous unité β libre de hCG
- UE3 (unconjugated estriol)
- α fœtoprotéine.
|
- Sous unité β libre de hCG
- UE3 (unconjugated estriol)
- α fœtoprotéine.
|
|
- CN (clarté nucale)
- LCC (longueur crânio-caudale)
|
- CN (clarté nucale) mesurée entre 11 et 13 SA et 6 jours
- LCC (longueur crânio-caudale) mesurée entre 11 et 13 SA et 6 jour
|
------------ |
- En
thérapie
- Dans la maturation
folliculaire, le déclenchement de l'ovulation et la lutéinisation
précoce :
- L'hCG se lie aux cellules de la thèque
et de la granulosa de l'ovaire par l'intermédiaire
d'un récepteur commun avec l'hormone luténisante
(Lutinizing Hormone : LH) c'est-à-dire le récepteur
LH/hCG ; elle déclenche les actions suivantes :
- la reprise de la méiose
de l'ovocyte ;
- déclenchement de l'ovulation
par la rupture folliculaire à partir d'un follicule
préalablement stimulé par FSH ;
- la formation et le développement
du corps jaune ;
- la production de progestérone
et l'oestradiol par le corps jaune.
- Vu ces activités physiologiques
de l'hCG, elle est utilisée dans :
- la maturation folliculaire
finale ;
- le déclenchement de
l'ovulation ;
- la lutéinisation précoce
du follicule après l'ovulation.
- Il existe actuellement deux formes
de hCG en thérapie :
- hCG
urinaire :
- L'hCG est extraite de l'urine
de femme enceinte.
- Les effets de l'hCG sont
ceux de l'activité de la LH :
- Chez
la femme :
- Vu les propriétés
pharmaceutiques de l'hCG urinaire, elle est
administrée par voie intra-musculaire,
en association avec les FSH ou HMG pour :
- traitement de la
stérilité par anovulation
ou dysovulation,
- déclenchement
de l'ovulation dans le cadre des procréations
médicalement assistées quelques
heures avant la ponction.
- L'injection d'hCG peut
induire un test de grossesse faussement positif
pendant 8 à 15 jours selon la dose injectée.
La réalisation d'un nouveau test quelques
jours plus tard est recommandée en cas
de doute.
- Chez
l'homme :
- L'hCG provoque :
- Différenciation
des cellules de Leydig et stimulation
de la sécrétion d'androgènes
par ces cellules.
- Peut permettre
en cas de cryptorchidie sans obstacle
anatomique la descente des testicules
(J Pediatr 1982;101:923-927).
- Vu les propriétés
pharmaceutiques de l'hCG urinaire, elle est
indiquée dans le :
- traitement de la
stérilité par insuffisance
de la spermatogenèse en cas d'hypogonadisme
hypogonadotrope, en association avec les
FSH ou HMG.
- cryptorchidie en
l'absence d'obstacle anatomique.
- test à l'hCG
pour l'exploration de la fonction leydigienne
du testicule.
- Chez
les sportifs :
- Substance interdite
:
- Journal Officiel
du 7 Mars 2000.
- hCG
recombinante :
- La gonadotrophine chorionique
recombinante est une choriogonadotrophine alpha (α)
produit par des techniques d'ADN recombinant à
partir de cellules CHO (Chinese Hamster Ovary).
- Sa séquence d'acides
aminés est identique à celle de l'hCG
urinaire.
- Une dose de 250 microgrammes
est équivalent à environ 6 500
unités.
- Elle est administrée
:
- Chez
les femmes entreprenant une superovulation en
vue d'une assistance médicale à
la procréation telle que la fécondation
in vitro :
- pour déclencher
la maturation folliculaire finale et la lutéinisation
après stimulation de la croissance
folliculaire
- Chez les femmes anovulatoires
ou oligo-ovulatoires :
- pour déclencher
l'ovulation et la luténisation après
stimulation de la croissance folliculaire.
-
P.Rozenberg. Les
stratégie de dépistage de la trisomie 21. Mise au
point et expérience personnelle (première partie).
Gynécologie internatale n°7, septembre 1997. P;230:235.
-
F. Ferré.
A. Malassiné (Fonctions endocrines de placenta - Obstétrique
d'Emile Papiernik, Dominique Cabrol, Jeau-Claude Pons). Edition
Médecine-Sciences Flammarion (1995). p; 4:6.
-
Jean-Claude Emperaire.
Gynécologie endocrinienne du praticien. P;179:180 et 105.
Edition Frison-Roche1990
-
J.P. Droz et C.
Lhomme. Cancers : évaluation, traitement et surveillance-
Choriocarcinome placentaire . JM Andrieu & P Colonna Ed. ESTEM,
Paris 1997.
-
M. R. Sairam, P.
Mauvais-Jarvis. Médecine de la reproduction [Les hormones
gonadotropes de l'hypophyse humaine (FSH, LH et prolactine) ; structure
et mécanisme d'action]. Ed Flammarion Médecine/Sciences
1986. p;42:50.
-
http://www.biam2.org/www/Sub1750.html
|